un amnésique en prison [personne, merci :D]

Confirmé(e) Nombre de messages : 505 Age : 32 Date d'inscription : 28/10/2006

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Lorsque Grav' se réveilla, il était dans une pièce étoite, enfermé dans une cellule. Ceux qui l'avait capturé avait dû toucher une somme non négligeable, même s'il était loin d'être très recherché.
Grav' regarda autour de lui, il était assit sur un lit, dont la couverture était déchirée. Il examinait les épais barreaux qui l'empêchait de partir, il se leva, et il passa sa main autour, et se rendit vite compte qu'il ne pourrait en aucun cas les briser.
De l'autre côté de se trouvait une petite fenêtre, seule source de lumière de la pièce. Des barreaux similaires la bloquait également.
Grav' se rassit sur son lit, prenant sa tête dans sa main gauche. Son bras droit lui fesait mal, au niveau de son tatouage de pacte avec son démon. Le jeune détenu poussa un cri de douleur, jusqu'à ce que l'un des prisonniés voisins lui dise de se taire, d'une injure vulgaire.

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[mon 400ème message héhé !]

Cela faisait déjà quelques heures qu'il était enfermé dans sa cellule. Il savait que s'il ne fesait rien, il allait être éxécuté le lendemain, comme les personnes qu'il venait de voir dans l'après midi. Il avait de longues heures devant lui pour réfléchir à un moyen de sortir d'içi, mais n'en trouvait pas. Comme il n'avait rien à faire (il s'ennyait Grav'), il examina à nouveau les envirrons. Un des quatre murs était fissuré, il semblait avoir été détruit puis reconstruit récemment. Au pied, se trouvait encore quelques morceaux de terre et de charbon. Le choc avait dû être violent, pensa-t-il. Le mur opposé attirait plus le regard de Grav', orangé par la lumière du couché du soleil, et saturé par les rayures des barreaux. Il s'approcha de plus près, et commença à lire les divers graphitis qui servaient de papier peint au béton. Grav' carressa le mur, tout en essayant de déchiffrer les écritures.

Les anciens occupants semblait avoir inventé MSN, le Mur Scripto-Notable. Le jeune homme lisait à voix basse les inscripitions, dûmoins, celles qu'il arrivait à lire.

Citation :: Cette journée est ma dernière, demain je ne serais plus. Mais je partirai vers les cieux avec l'âme apaisée, car j'ai permi à mes compagnons de s'évader. A tous ceux qui passeront dans cette cellule, et qui liront cet écriteau : il existe surement un moyen pour que tout le monde soit heureux, un jour, toutes les prophéties seront abolies...

Grav' resta pensif après avoir lu attentivement ce texte. Il s'agissait de la façon de pensée de Grav', avant son amnésie. Une fois qu'il eut fini de réflechir, il reprit, avant que la nuit ne tombe complètement.

Citation :: Cette prison me rapelle ma salle de latin, les murs épais, les barreaux de fers, les cris stridents et l'ambiance obscure sont les même que là-bas. Seulement, içi il n'y a pas de vocabulaire, d'où le fait que je suis heureux d'être içi. Il faut savoir se contenter de ce que l'on a...

Le détenu ocha de la tête, pour montrer son accord. La nuit était presque entièrement tombée, le mur devenait trop sombre pour être lu. Grav' prit alors un morceau de charbon à tâton dans le noir, et commença à écrire à son tour sur le mur épais, se fiant à son intuition pour savoir s'il formait bien ses lettres.

Citation :: Mon nom est Grav', je ne me souviens de rien, j'ai perdu la mémoire étrangement. Je ne me souviendrais plus de mon propore nom si quelqu'un ne me l'avais pas dit. Je suis au moins sûr d'une chose : j'ai des amis fidèles. Lorsque je suis avec eux, je me sens bien. La seule prononciation de leurs noms me réconforte, même si je ne leurs accorde aucun souvenir. Seul un d'eux me parrait étrange, il ne fait que frimer, et se considère comme le meilleur. Au fond, je pense qu'il a un grand coeur, et même s'il semble être mon rival, je le considère comme un ami. J'ai tellement hâte de retrouver mes souvenirs, malgré que mon passé soit apparemment maudit. Mais si je ne trouve pas un moyen de m'enfuire, je mourrai avant de me rapeller de quoi que ce soit...

Grav' s'arreta içi, fatigué d'appuyer comme un fou sur le charbon, désormais réduit en cendre. Il s'avança vers les barreaux, et s'écroula devant,en tenant deux entre ses mains.

*J'aimerai tant être dans un foyer, au chaud, devant une cheminée, devant un feu...*

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Le lendemain, au levé du soleil, Grav' se réveilla après une nuit cauchemardesque. Il était allongé par terre, ne pouvant plus être en appui sur les barreaux ; ceux-ci avaient fondus. Le détenu, ne cherchant pas à comprendre ce qui s'était passé, se releva au quart de tours, et se dirigea vers le couloir, afin de s'évader. Lorsqu'il passa devant les autres cellules, plusieurs personnes le suplièrent de les délivrer. Grav' saisi les clés accrochées au mur, et s'exécuta. Ils étaient donc tout un groupe à sortir dans la cour. Seulement, une troupe de soldat les y attendait.

"Chargez ! s'écria un des ex-prissonier."

Une violente battaille s'engagea donc entre les deux camps. Grav' resta sans voix, himobile, pensif, jusqu'à se recevoir un coup de coude dans le ventre, ce qui le fit réagir. Sans hésiter, il saisit un poignard tombé au sol, et l'enfonça dans le cadenas qui fermait la porte principal. La serrure se brisa, et le jeune homme ouvrit la porte de tôle, offrant la liberté aux survivants, et à lui même.

» attaque de la prison